En mission: Celle qui promeut des défis

Kathrin Kölbl, membre de la direction et responsable Account- & Service Management chez Abraxas, et son équipe veulent faire progresser toute la Suisse en matière de numérisation.

De Gregor Patorski et Samuel Näf · 2 juin 2023

Je veux conseiller encore mieux nos clients et les challenger encore plus. Kathrin Kölbl

Que faut-il pour que la cyberadministration fasse un pas en avant en Suisse?
K. Kölbl: il faut une normalisation et un ancrage juridique. Au cours des 10 dernières années, la Suisse n’a pas vraiment progressé. Maintenant, avec la discussion sur l’identité électronique, nous prenons enfin lentement de la vitesse. Ce n’est qu’ainsi que nous pourrons être à la hauteur de notre ambition d’être le pays le plus innovant. L’envoi de données par fax pendant la pandémie n’était pas innovant. Au contraire: il a fait du mal.

Quel rôle joue Abraxas dans ce contexte?
Ce qui rend Abraxas unique, c’est d’une part notre taille: ni trop petite ni trop grande. Et d’autre part, le fait que nous nous concentrons entièrement sur l’administration. Un engagement clair envers le secteur public. Mon objectif est que les employés administratifs pensent d’abord à Abraxas lorsqu’ils pensent à la numérisation – et cela à tous les niveaux fédéraux. Nous voulons et pouvons remplir ce rôle.

Vous dirigez l’organisation commerciale d’Abraxas depuis six bons mois – dans quelle direction exactement?
Je veux toujours offrir à nos clients de meilleurs conseils et encore plus de défis. Nous le pouvons si nous connaissons exactement leur activité et leurs processus. Ensuite, sur la base de notre expérience, nous pouvons les aider à parcourir les bonnes étapes de transformation, et dans le bon ordre. Nous sommes dans un secteur incroyablement passionnant et nous devons travailler ensemble pour progresser. Notre motivation – avec nos clients – doit être de faire progresser la Suisse numériquement. Car dans le meilleur des cas, chaque personne en Suisse est concernée par notre travail. Mieux vaudrait donc que nous le fassions bien.

Gregor Patorski

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