Abraxas conseille, accompagne et donne aux administrations les moyens d'utiliser correctement l'intelligence artificielle, afin que l'IA devienne une partie intégrante du secteur public.
Les cybercriminels utilisent de plus en plus l’intelligence artificielle pour affiner leurs attaques et les diffuser à grande échelle. C’est pourquoi les Security Operations Center (SOC) utilisent des technologies telles que l’apprentissage automatique et l’IA générative pour lutter efficacement contre les cyberattaques.
Quels changements l’intelligence artificielle apporte-t-elle à l’administration publique ? Et comment Abraxas utilise l’IA dans son activité quotidienne ? Aperçu des champs d’application concrets, des expériences internes et des possibilités futures.
Qu'il s'agisse de rapports, d'activités administratives ou de la centrale d'intervention, les corps de police se penchent sur l'intelligence artificielle. Dans une interview vidéo, deux représentants de la police expliquent où se situe leur corps aujourd'hui et où ils voient des opportunités pour le soutien de l'IA.
Aujourd’hui, cinq domaines d’application se dessinent au sein desquels l’intelligence artificielle devrait s’imposer dans le système fédéral. C’est ce que montre la recherche appliquée de l’institut allemand Fraunhofer.
En 2018 déjà, le Conseil fédéral soulignait le potentiel de l’intelligence artificielle (IA) pour la Suisse dans le cadre de la stratégie « Suisse numérique ». À l’époque, il appelait à utiliser l’IA pour l’innovation et la croissance, tout en abordant des thèmes tels que la protection des données et la discrimination.
Les systèmes algorithmiques complexes peuvent soutenir utilement l'action administrative. Mais cela ne sera possible que si les administrations et les autorités ont les compétences nécessaires pour comprendre à quelles fins l'IA est utile, ce qu'elle apporte et où se situent ses limites. Une chronique d'Angela Müller, directrice d'Algorithm-Watch Suisse.